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Isolation Combles Joinville-le-Pont (94340)

Vous souhaitez améliorer votre confort et faire des économies d’Energie ? Foisotte Couverture, spécialiste de l’isolation de combles à Joinville-le-Pont et de toiture vous propose ses services en aménagement et en isolation de vos combles ainsi que pour tout type de travaux de couverture à Joinville-le-Pont
 
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Isolation de Combles à Joinville-le-Pont

Vous habitez une maison avec des comble ? Vous voulez isoler les combles de votre appartement, maison ou immeuble à Joinville-le-Pont ? Que vous soyez particulier ou professionnel, propriétaire ou non de votre celui/celle-ci, Foisotte Couverture mobilise toute son énergie à vous aider à réaliser vos services d’isolation neuf ou de restauration, où que vous habitiez en tant que couvreur à Joinville-le-Pont. Bénéficiez du savoir-faire de Foisotte Couverture, spécialiste de l’isolation des combles, pour vous accompagner lors de vos différents projets d’isolation par le biais des offres bénéfiques sur le long terme.

Quel est l’intérêt d’accomplir l’isolation de vos combles à Joinville-le-Pont ?

isolation de combles à Joinville-le-Pont

Vous Vous hésitez toujours à faire réaliser l’isolation de vos combles à Joinville-le-Pont ? ? Nous sommes en mesure de vous montrer quels sont les raisons pour lesquels on vous conseille de bien isoler votre logement sur Joinville-le-Pont et ses environs:

  • Une technique sonore : ce n’est jamais amusant de dormir dans une salle et de vivre dans différents bruits, que ces bruits se forment de l’extérieur ou de l’intérieur. Au moment où vous choisissez d’isoler vos combles de manière acoustique, vous aurez aucun souci. Ainsi, vous serez favorablement installés dans la partie aménagée dans vos combles. C’est ce dont n’importe qui rêverait.
  • C’est, en premier lieu, d’un système d’isolation calorique : vous ne le savez peut-être pas, pourtant les combles de votre habitation constituent un véritable espace de ventilation. Et puisque vous devez en douter, la chaleur peut monter de façon naturel. Quand vous isolez vos combles, que va-t-il se passer ? La température restera à l’intérieur de votre maison, ce qui n’est pas négligeable pour économiser de l’énergie.
    Il s’agit aussi d’une méthode économique : vous ne le savez peut-être pas, pourtant vos dépenses de chauffage deviendront généralement allégées. Effectivement, puisque vos combles demeureront vraiment isolées, la chaleur demeurera sous le toit et puis vous récupérerez plus d’énergie de chauffe. Véritablement efficace, quand on s’en rend compte, non ?
  • De plus, c’est aussi une mesure écologique : comme nous le disions ci-dessus, vous ferez beaucoup d’économies en matière dépense d’énergie. Vous baisserez donc les GES, ce qui formera une solution plus que bénéfique pour la planète.

De plus, de nos jours, il est possible de faire appel à une agence isolation combles Joinville-le-Pont à prix moins cher. Mais au cas où vous n’avez pas envie de faire de travaux, pensez plus particulièrement à tous les profits que cela peut vous offrir. Nous sommes certains que vous serez persuadé de les isoler réellement, ne serait-ce que pour payer une dépense de chauffage plus raisonnable !

Qu’en est-il du coût pour réaliser l’isolation des combles à Joinville-le-Pont ?

isolation toiture laine de erre Joinville-le-Pont

Quand vous réaliserez l’isolation des combles sous revêtement à Joinville-le-Pont, vous devrez payer deux choses différentes : le prix du matériau utilisé pour l’isolation de vos combles , et le coût de l’intervention. Nous disposons les tarifs approximatifs en fonction de le système d’isolation que vous aimez mettre :

  • Laine de roche : 7€ à 10€ le m2.
  • Laine de verre : 6€ à 10€ le mètre carré.
  • Ouate de cellulose : 28€ à 42€ € par m2.
  • Laine de chanvre : 25€ à 36€ € le mètre carré.

Après cela, il vous faudra compléter le coût de la main d’œuvre. Mais si vous désirez avoir un devis personnalisé, nous sommes là pour vous aider dans cette procédure.
En somme, le système d’isolation des combles est une opération cruciale, plus particulièrement dans le cas où vous souhaitez que vos dépenses de chauffage ne soient pas trop chères. Soulignons aussi qu’il s’agit d’ une opération respectueuse de l’environnement, cela n’est pas négligeable !

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À propos de Joinville-le-Pont

Joinville-le-Pont est une commune française située dans le département du Val-de-Marne en région Île-de-France. La commune est créée en 1790, par démembrement de l’ancienne paroisse de Saint-Maur (actuellement Saint-Maur-des-Fossés), sous le nom de La Branche-du-Pont-de-Saint-Maur, avant d’être renommée Joinville-le-Pont en 1831.

Ses habitants sont appelés les Joinvillais.

La commune est traversée en son milieu par la Marne qui sépare la ville en deux : à l’est, le bas de Joinville et à l’ouest le haut de Joinville. L’île Fanac occupe le lit de la rivière, tandis que l’île des Saints Pères est délimitée par le canal dit de Saint-Maur, qui permet d’éviter aux bateaux une boucle importante. Un canal, dit ru de Polangis, serpente dans le quartier du même nom.

La Marne, grande rivière, serpente doucement entre les coteaux à l’ouest du plateau de la Brie. Elle traverse Joinville-le-Pont avant de faire une large boucle autour de la presqu’ile de Saint-Maur-des-Fossés et de s’associer avec la Seine au pont de Charenton pour traverser Paris.

Depuis les temps anciens, le seul franchissement possible de la Marne pour aller de Paris vers les régions de l’Est était le pont de Joinville situé au début de la boucle de Saint-Maur-des-Fossés.

Au cours du XIXe siècle, grâce à sa liaison facile avec Paris par le chemin de fer de la Bastille, les Parisiens vinrent en grand nombre les dimanches, attirés par le canotage sur la Marne. Un canal a été creusé spécialement pour les rameurs au travers du quartier de Polangis, baptisé rivière (ou ru) de Polangis. Le canotage a laissé la place au kayak et à l’aviron dans la seconde moitié du XXe siècle. De nombreuses régates à l’aviron ont été disputées sur le plan d’eau de Joinville, notamment, la “tête de rivière” chaque début du mois de mai, jusqu’à la fin des années 1960, et accueille à présent chaque année le Grand 8.

Le plan d’eau abrite un port de plaisance, sur l’emplacement duquel se trouvaient plusieurs piscines découvertes dans la Marne même, dont le “banc de sable” que les anciens Joinvillais ont tous connu, lesquels pour la plupart y ont appris à nager. Un barrage empêche la navigation dans la grande boucle de la Marne. Cependant, le tunnel dit de Saint-Maur puis une écluse permettent aux bateaux de rejoindre la Seine.

L’usine des Eaux de Paris, située à Joinville, fournit en eau potable les quartiers est de la capitale. Elle utilise l’eau de la Marne. Joinville est alimentée également par de l’eau de la Marne, mais provenant de l’usine du SEDIF de Noisy-le-Grand

Le Festival de l’Oh! (organisé par le département du Val-de-Marne) est jumelé à Joinville avec la fête des Guinguettes. Les deux manifestations se tiennent généralement en mai.

La commune est traversée d’est en ouest par la nationale 4 qui enjambe la Marne par le pont de Joinville qui prend appui sur l’île Fanac.

La commune est desservie par le (RER)(A) avec la gare Joinville-le-Pont. Elle est aussi traversée par des lignes d’autobus :

77101106108110112201281317

Joinville-le-Pont est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,. Elle appartient à l’unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[4] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue,.

Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal. Cette aire regroupe 1 929 communes[7][8].

La commune de Joinville-le-Pont est constituée de deux ensembles de quartiers, séparés par la Marne :

Il y a aussi l’île Fanac, sur la Marne, accessible par le pont de Joinville.

Joinville était à l’origine rattachée à la ville de Saint-Maur. L’archevêque Odon de Sully dote l’abbaye de Saint-Maur, en 1205, d’un pont sur la Marne dénommé Pont Olin. Sur les rives s’installent des auberges pour les bateliers et les voyageurs. Elles constituent, vers 1259, le hameau dit de Pont des Fossés, puis de Pont de Saint-Maur. Il deviendra ensuite la Branche du Pont de-Saint-Maur. Une chapelle dédiée à saint Léonard est édifiée pour les bateliers.

Le , le futur Henri IV, roi de Navarre, prend le pont avec deux pièces d’artillerie et 15 000 hommes. En 1649, le pont est détruit par les partisans de la Fronde. En 1652, les soldats du Condé font de même. En 1669, la Branche-du-Pont-de-Saint-Maur compte cent trente-deux feux soit quelque quatre-cent-trente habitants. Rattachée jusqu’en 1693 à la paroisse de Fontenay, elle dépend ensuite de celle de Saint-Maur.

La Révolution française voit la transformation des anciennes paroisses en communes. En 1790, les habitants de la Branche du Pont de Saint-Maur (409 en 1793) proclament leur commune indépendante de celle de Saint-Maur, arguant de l’existence d’un lieu de culte, la chapelle Saint-Léonard.

En 1790, la commune est constituée sous le nom de La Branche-du-Pont-de-Saint-Maur. Edmée Lheureux devient le premier maire avec comme officiers municipaux Jean Le Jeune et Laurent-François Pinson, qui deviendra maire en 1800. Il exerce également la profession de marchand de bois[11]. Elle est référencée en 1791 comme faisant partie du département de Paris (qui deviendra celui de la Seine en 1795), du district de Bourg-la-Reine, rebaptisé Bourg-l’Égalité l’année suivante, et du canton de Vincennes.

Le maire de Saint-Maur proteste et adresse une plainte à la municipalité de Paris, le . Des démarches identiques seront renouvelées jusqu’en 1830 par les élus de Saint-Maur.

En application de la Loi du 28 pluviôse an VIII, un conseil municipal est élu en 1800. Le préfet de la Seine, Nicolas Frochot, désigne Laurent Pinson (1755-1814), marchand de bois, en tant que maire de la commune. Il mourra en fonction en 1814.

Le , l’armée française est battue par les régiments autrichiens, wurtembourgeois et cosaques autour du pont. La bataille fait 265 morts. Des cadavres ont été retirés de la Marne pendant deux mois.

En 1830, Laurent-Nicolas Pinson (1788-1867), marchand de bois, fils de Laurent-François Pinson, devient maire de La Branche-du-Pont-de-Saint-Maur. Le conseil municipal et son maire, Laurent-Nicolas Pinson, obtiennent du roi Louis-Philippe que la commune soit désormais appelée Joinville-le-Pont en l’honneur de François d’Orléans, prince de Joinville (1818-1900), troisième fils de Louis-Philippe. L’ordonnance royale du autorise ce changement d’appellation, auquel on adjoint « -le-Pont » pour éviter la confusion avec Joinville dans la Haute-Marne.

Pendant le siège de Paris, la municipalité de Joinville est déplacée dans la capitale. Le château de Polangis est un point stratégique au cours de la sanglante bataille de Champigny, étant avec la ferme du Tremblay la seule construction dans la plaine. Le général Ducrot y installe son quartier général. La bataille qui dure du 30 novembre au a lieu à Champigny et Joinville entre les troupes françaises et allemandes, tandis que les troupes nationales ont détruit le pont de Joinville. On comptera 2 000 morts.

La ville de Joinville est particulièrement connue depuis le XIXe siècle pour ses guinguettes, installées le long de la Marne. Les Parisiens venaient y passer leur dimanche au bord de l’eau en empruntant le chemin de fer de la ligne de Vincennes, dont le terminus côté Paris se trouvait place de la Bastille, devenue aujourd’hui la ligne de RER A. Des maisons secondaires sont alors construites au bord de l’eau afin d’y venir pour flâner le week-end. Elles sont divisées en plusieurs pièces indépendantes pour trois ou quatre familles. Aujourd’hui ces « appartements » ont fusionné pour donner de belles villas à 20 minutes du centre de Paris. On retrouve des témoignages de cette époque à travers différents tableaux ou différentes œuvres littéraires, telles que le roman d’Émile Zola, Au Bonheur des Dames. Aujourd’hui subsistent encore quelques guinguettes, telles que Chez Gégène, qui s’animent pendant les week-ends de la belle saison.

Après la création de l’Indochine française, l’école Parangon est créée à Joinville-le-Pont. Dépendant de l’Alliance française et dirigée par l’ancien inspecteur colonial André Sales, elle accueille de jeunes Vietnamiens qui y préparent le brevet élémentaire et le brevet d’enseignement primaire supérieur

Pendant la Première Guerre mondiale, Joinville accueille un hôpital canadien.

En 1921, Pathé y installe ses studios de cinéma qui, malgré diverses tribulations, dureront jusqu’en 1987.

En 1929, la ville de Paris annexe la totalité du bois de Vincennes, amputant Joinville d’une partie de son territoire et notamment de l’hippodrome de Vincennes et de l’école de sports, devenue INSEP.

Le , une importante bataille oppose des Forces françaises de l’intérieur (FFI) aux soldats allemands. Elle fait 19 morts parmi les combattants de la Résistance et les civils, dont 12 Joinvillais.

En 1971, la construction de l’autoroute de l’Est (autoroute A4) entraîne la démolition de 130 pavillons et plusieurs restaurants avec terrasses en bord de Marne, notamment: quai de la Marne.

En 1987, les studios de télévision (ancien studios de cinéma) de la SFP de Joinville sont fermés et transférés à Bry-sur-Marne.

Jusqu’à la loi du , la commune faisait partie du département de la Seine. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais au Val-de-Marne à la suite d’un transfert administratif effectif le .

La commune était depuis 1959 le chef-lieu du canton de Joinville-le-Pont, initialement de la Seine, puis du Val-de-Marne. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Charenton-le-Pont.

La commune n’était membre, jusqu’en 2015, d’aucune intercommunalité à fiscalité propre.

Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l’agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre.

La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d’ensembles de plus de 300 000 habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT).

La commune a donc également été intégrée le à l’établissement public territorial Paris-Est-Marne et Bois.

Depuis la Libération de la France, sept maires se sont succédé :

Depuis 1960, Joinville-le-Pont est jumelée avec la ville de Bensberg en Allemagne, devenue en 1975 Bergisch Gladbach à la faveur d’un regroupement de communes. Située en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, sa population est de 106 000 habitants.

Depuis 1960 également un jumelage a été conclu avec une ville du Royaume-Uni, Runnymede. Située dans le comté de Surrey, au sud-est de l’Angleterre, elle est devenue en 1974 Runnymede par suite également d’un regroupement de communes. Sa population est de 83 000 habitants.

En 2001, une charte de coopération a été signée avec la ville de Joinville au Brésil. Située dans l’État de Santa Catarina, au sud du pays, elle compte 515 000 habitants.

Depuis 2007, Joinville-le-Pont est jumelée avec la ville de Batalha, commune de 15 000 habitants, située au centre du Portugal, dans le district de Leiria.

L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d’une enquête par sondage auprès d’un échantillon d’adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans,

En 2019, la commune comptait 19 652 habitants, en augmentation de 8,43 % par rapport à 2013 (Val-de-Marne : +3,92 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

Joinville-le-Pont accueille 4 écoles maternelles : école maternelle de Polangis, école maternelle P’tit Gibus, école maternelle du Centre et école maternelle Jean de la Fontaine ; 4 écoles primaires : école primaire de Polangis, école primaire du Parangon, école primaire Eugène Voisin et école primaire Bernard Palissy ; 2 collèges : Collège Jules Ferry, Collège Jean Charcot ; et 1 lycée professionnel : Ensemble Sainte Marie

La commune ne dispose pas d’université.

La ville organise tous les ans la fête de la musique, la fête de l’été et le festival de l’eau.

La commune accueille de nombreux pratiquants des sports nautiques avec 3 clubs d’aviron (dont l’Aviron Marne et Joinville) ou de kayak (Joinville Eau Vive). La Fédération française de canoë-kayak a son siège à Joinville.


L’hippodrome de Vincennes, était situé jusqu’en 1929 sur le territoire de Joinville. Un quartier partagé entre Joinville-le-Pont et Saint-Maurice, le quartier des Canadiens, situé en bordure du Bois de Vincennes, accueillait des écuries et haras pour les chevaux, qui ont aujourd’hui disparu. Aujourd’hui, seul subsiste, le stade municipal Jean-Pierre Garchery de Joinville, situé sur le territoire de la ville de Paris et de son 12e arrondissement.

L’École normale militaire de Gymnastique, fondée en 1852, qui a donné naissance au Bataillon de Joinville, se situait elle aussi sur le territoire de Joinville avant 1929.

Le Racing Club de Joinville (RC Joinville), le club de football de la ville créé en 1985, est l’héritier du Racing Paris-Joinville, qui a évolué en Division 2 de 1970 à 1972 et qui fut lui-même issu de l’équipe militaire de football du bataillon de Joinville et de la section football du Club Olympique de Joinville. L’international Sylvain Wiltord y a notamment fait ses débuts.

L’Athletique Club Paris-Joinville, fondé en 1984, s’est fortement renforcé en 2007 avec chez les hommes, des spécialistes du triple saut (Sébastien Pincemail et Colomba Fofana) ou de la perche (Romain Mesnil) et chez les femmes, Sophie Duarte (3 000 mètres steeple), Muriel Hurtis (100 m et 200 m) ainsi que Françoise Mbango-Etone (triple saut), athlète camerounaise, médaillée d’or aux Jeux olympiques d’Athènes (Grèce) en 2004 et aux Jeux olympiques de Pékin (Chine) en 2008.

Le Racing Tennis Club de Joinville (RTC Joinville) est un club de tennis se situant au stade municipal Jean-Pierre Garchery avec les clubs du RC Joinville et de l’AC Paris-Joinville. Il possède 5 courts de tennis au total : 3 en béton, ou “quick”, et 2 en terre battue. Les courts en terre battue sont recouverts par une bulle l’hiver.

L’Athletic Arc Club, club affilié à la Fédération française de tir à l’arc, fut créé en 1984 par Michaël Nayrole qui a été directeur technique national et entraîneur de Sébastien Flute, médaillé olympique aux Jeux olympiques de Barcelone en 1992 puis directeur de l’équipe de France en 1993. Le club est dissous en 2014


Clubs sportifs :

La ville possède un journal municipal le “Joinville Mag”.

La ville possède des églises, une synagogue et un temple bouddhiste.

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 34 610 €, ce qui plaçait Joinville-le-Pont au 7 610e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole.

L’activité économique est concentrée sur trois secteurs :

Les activités touristiques sont importantes autour de la Marne, avec plusieurs guinguettes, des restaurants dansants fréquentés surtout à la belle saison. Un port de plaisance fonctionne, tandis que l’île des Saints Pères abrite des services de la navigation de la Seine et de Voies navigables de France.

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Notre établissement peut travailler partout pour assurer la pose de toiture, la maintenance ou la restauration, le dépoussiérage, l’installation de gouttière, l’isolation de vos combles ainsi que la pose de fenêtre au sein de la ville de Joinville-le-Pont et partout au alentour. N’attendez plus pour nous consulter en cas de problème. Nous serons heureux de vous conseiller en tant que couvreur qualifié à Joinville-le-Pont.

Les faiblesses de son logement permet de connaitre les travaux à effectuer. En général, qui dit « isolation » dit « murs ». Toutefois le 1er point faible demeure la toiture. Elle engendre presque la moitié des déperditions calorifiques : La couverture de toit représente une grande surface de contact entre l’intérieur et l’extérieur. La toiture fait face au vent. La chaleur de la pièce monte et s’accumule ainsi sous les toitures. Il y a plusieurs causes de pertes dues aux toits : Défaillance d’isolation du dernier plafond, défaut d’isolation des sous-pentes de toiture et aussi des combles, dispersions d’air, entre les tuiles et au niveau des joints de la charpente avec le mur. Par conséquent, dans une résidence faiblement isolée, le toit doit être la priorité n°1. Une bonne isolation = économie énergétique.
  • Nous établissons des devis personnalisés et non payants
  • Nous disposons de toutes les attestations d’assurances nécessaires
  • Notre établissement est certifié et labellisé
  • Nous utilisons que des dispositifs de meilleure qualité en tant que couvreur à Joinville-le-Pont.
  • Nous entreprenons toutes nos interventions dans le respect de la date d’exécution
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