...

Isolation Combles Charenton-le-Pont (94220)

Vous souhaitez améliorer votre confort et faire des économies d’Energie ? Foisotte Couverture, spécialiste de l’isolation de combles à Charenton-le-Pont et de toiture vous propose ses services en aménagement et en isolation de vos combles ainsi que pour tout type de travaux de couverture à Charenton-le-Pont
 
logo artisan

Nous contacter

artisan qualifié et expérimenté 92 hauts de seine

Artisan
Qualifié

garantie décennal hauts de seine

Garantie Décennale

devis gratuit couvreur 92

Devis
Gratuit

tarifs compétitif hauts de seine

Tarifs Compétitifs

avis clients bon satisfaction 92 hauts de seine

Satisfaction Clients ✓

Pose d’isolation de Combles à Charenton-le-Pont

Vous logez dans une habitation avec des comble ? Vous souhaitez isoler les combles de votre immeuble, maison ou appartement à Charenton-le-Pont ? Que vous soyez particulier ou professionnel, propriétaire ou non de votre celui/celle-ci, Foisotte Couverture utilise toute son énergie à vous aider à réaliser vos projets d’isolation neuf ou de rénovation, où que vous habitiez en tant que couvreur à Charenton-le-Pont. Profitez de l’expérience de Foisotte Couverture, référence en isolation des combles, pour vous aider lors de vos projets d’isolation à travers des solutions bénéfiques sur le long terme.

Quelle importance d’effectuer l’isolation de vos combles à Charenton-le-Pont ?

isolation de combles à Charenton-le-Pont

Vous ne savez toujours pas si réaliser l‘isolation de vos combles à Charenton-le-Pont est une bonne idée ? ? Nous sommes en mesure de vous montrer vraiment pourquoi vous devriez de correctement isoler votre habitation sur Charenton-le-Pont et ses environs:

  • Une méthode sonore : ce n’est point aisé d’aller se coucher dans une salle et de vivre dans différents bruits, que ces bruits viennent de l’intérieur ou de l’extérieur. Lorsque vous prévoyez d’isoler vos combles de manière phonique, vous ne ferez face à aucun ennui. Ainsi, vous serez commodément installés dans la partie entretenue dans vos combles. C’est ce dont n’importe qui rêverait.
  • Il s’agit, dans un premier temps, d’un système d’isolation thermique : vous n’en êtes pas au courant peut-être, pourtant les combles de votre résidence forment une vraie pièce d’air. Et parce que vous en souciez, la température peut monter rapidement. Si vous isolez vos combles, que se passe-t-il ? La température se figera à l’intérieur de votre résidence, ce qui n’est pas négligeable pour garder la chaleur dans votre logement.
    Il s’agit également d’une pratique intéressante : vous ne le savez peut-être pas, alors que vos factures en termes de chauffage deviendront généralement allégées. En effet, parce que vos combles demeureront pratiquement isolées, la chaleur se figera entre les quatre murs et ainsi vous stockerez plus d’énergie de chauffe. Plus efficace, quand on s’en rend compte, non ?
  • Par ailleurs, c’est aussi une mesure environnementale : comme nous le disions ci-dessus, vous ferez beaucoup d’économies en termes dépense énergétique. Vous diminuerez donc les GES, ce qui formera une solution plus que profitable pour l’écosystème.

En plus, actuellement, c’est possible de contacter une entreprise isolation combles Charenton-le-Pont à prix raisonnable. Toutefois lorsque vous ne souhaitez pas faire de travaux, considérez plus particulièrement à tous les bénéfices que cela peut vous offrir. Nous sommes sûrs que vous serez persuadé de les isoler dans les normes, ne serait-ce que pour payer une dépense de chauffage plus raisonnable !

Quel est le coût pour isoler les combles à Charenton-le-Pont ?

isolation toiture laine de erre Charenton-le-Pont

Quand vous procéderez à l’isolation des combles sous revêtement à Charenton-le-Pont, vous serez obligé de payer deux choses différentes : le prix de l’équipement utilisé pour le système d’isolation de vos combles , ainsi que le montant de la main d’œuvre. Nous disposons les prix généraux selon le système d’isolation que vous voulez installer :

  • Laine de roche : 7€ à 10€ par mètre carré.
  • Laine de verre : 6€ à 10€ par mètre carré.
  • Ouate de cellulose : 28€ à 42€ € le m2.
  • Laine de chanvre : 25€ à 36€ € par mètre carré.

A la suite de cela, il vous sera préférable de rajouter le prix de l’intervention. Toutefois, si vous souhaitez avoir un devis sur mesure, nous vous promettons de vous assister dans cette procédure.
En conclusion, le système d’isolation des combles constitue une étape cruciale, plus particulièrement dans le cas où vous voulez que vos factures de chauffage ne soient pas trop élevées. Précisons aussi qu’il s’agit d’ une technique écoresponsable, ce qui n’est pas négligeable !

Nous Appeler

À propos de Charenton-le-Pont

Charenton-le-Pont est une commune française située dans le département du Val-de-Marne en région Île-de-France.

Charenton-le-Pont est située sur la rive droite de la Seine, juste avant son entrée dans Paris et à la confluence de la Seine et de la Marne. Elle est bordée au nord par le bois de Vincennes.

La ville s’étend sur 1,85 km2 (une des plus petites communes du Val-de-Marne, seules cinq autres étant moins étendues) et est entièrement urbanisée (15 349 hab./km2, l’une des densités les plus élevées du département et parmi les plus hautes de la petite couronne parisienne).

La ville est traversée par la Marne et le fleuve la Seine, qui y confluent au lieu-dit Conflans-l’Archevêque.

Cette toponymie rappelle que les évêques — puis archevêques — de Paris y possédaient une propriété. Par la suite, un petit séminaire, pour le diocèse de Paris, s’y installa. Cet endroit vit la signature du traité de Conflans sous le règne de Louis XI.

La Marne est franchie par le pont de Charenton, qui permet le passage de la route nationale 6.

La commune est traversée par l’Autoroute A4 et l’important faisceau ferroviaire de la ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles.

De par sa situation à proximité immédiate de Paris, Charenton bénéficie de plusieurs axes routiers majeurs, à savoir notamment le boulevard périphérique de Paris au nord de la commune et l’autoroute A4 le long de la Seine à l’ouest.

À partir d’, Charenton sera une des premières communes en région parisienne (avec Vincennes) à rendre payant le stationnement des deux-roues motorisés car leur occupation de l’espace public a beaucoup augmenté et le stationnement illicite est fréquent.

La ville compte un réseau incomplet d’itinéraires cyclables, les rares pistes et double-sens cyclables ne permettant qu’une continuité partielle. Plusieurs stations Vélib’ sont situées à Charenton-le-Pont, ainsi que dans le Bois de Vincennes adjacent. Cependant, un itinéraire cyclable longe la Seine par le quai de Charenton reliant la Seine rive droite à Paris (quai de Bercy) aux bords de Marne et à la banlieue Sud-Est. Ce parcours, qui fait partie de la véloroute EuroVelo 3 ne comporte qu’une seule liaison avec la ville de Charenton par le pont Martinet qui enjambe l’autoroute au départ de l’île Martinet, les accès aux ponts Nelson Mandela étant des escaliers.

Charenton-le-Pont est une commune bien desservie par les transports en commun. La commune de Charenton-le-Pont se trouve dans la zone 2 du réseau de transports d’Ile-de-France.

La Ligne 8 du métro de Paris (Balard – Créteil-Pointe du Lac) dessert Charenton-le-Pont du nord au sud via les stations Liberté et Charenton – Écoles de h 30 à h 15 (h 15 les vendredis et samedis soir). La station Porte de Charenton est également à faible proximité de la ville.

Cinq lignes du réseau de bus RATP relient Charenton-le-Pont aux communes avoisinantes :

Deux lignes du Noctilien :

La ligne 3a du tramway, bien que intégralement située dans Paris, dispose de deux stations situées à faible proximité de la ville:

Charenton-le-Pont est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,. Elle appartient à l’unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[6] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue,.

Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal. Cette aire regroupe 1 929 communes[9][10].

Bercy, Conflans-l’Archevêque, Valmy, les Carrières, le Bourg-du-Pont, le Plateau.

Charenton-le-Pont est située sur la rive droite de la Marne et de la Seine (rives nord), de part et d’autre de leur confluent, juste en amont de Paris.

La commune est traversée, depuis 1848 par la tranchée de la voie ferrée provenant de la gare de Lyon qui divise la ville en deux parties reliées par des ponts et passerelles, depuis le début des années 1970 par l’autoroute de l’Est large de 10 voies le long de la Seine et de la Marne qui sépare la ville de ces cours d’eau, ainsi que, sur sa partie ouest, par une ancienne gare de marchandises, actuellement voies de garage et centre d’entretien des TGV (« technicentre Sud-Est européen »).

Après la disparition au cours du XIXe siècle et du XXe siècle d’une grande partie de son patrimoine (notamment châteaux de Conflans et de Bercy, hôtel du Plessis-Bellière), elle a conservé un centre architecturalement cohérent autour de sa mairie et de son église.

En liaison avec le projet de ZAC parisienne de Bercy-Charenton, qui prévoit notamment la prolongation de la rue Baron-Le-Roy vers Charenton, la municipalité prévoit l’aménagement de son quartier Bercy ; le projet prévoit en particulier la restructuration du centre commercial Bercy 2 et la construction d’une tour de 180 mètres de haut, signée par l’agence américaine Skidmore, Owings and Merrill, ainsi que l’élargissement de la passerelle Valmy vers le bois de Vincennes, le tout créant 360 000 m2 de nouvelles constructions, dont un millier de logements, des bureaux et des commerces.

Le nom de la commune est composé de deux termes. Charenton a pour origine le radical pré-indo-européen kal ou kar qui signifie pierre. Ce terme serait donc lié à l’activité d’extraction de la pierre de liais au bourg des Carrières[13]. Le second terme, Pont, est lié à un pont du VIIe siècle passant par la Marne.

Au Moyen Âge, le bourg de Charenton-le-Pont faisait partie, avec Conflans, Bercy et la seigneurie de la Grange aux Merciers, de la paroisse de Conflans dont l’église Saint-Pierre détruite en 1867 était située à l’emplacement de l’actuelle rue du Séminaire de Conflans, à l’angle de la rue du Président-Kennedy. Cette paroisse qui s’étendait du pont de Charenton jusqu’à Bercy à la limite avec l’immense paroisse Saint-Paul de Paris fixée au ru de Montreuil, était rattachée au Moyen Âge à l’abbaye de Saint-Martin-des-Champs à Paris à la suite d’une donation de l’évêque de Paris en 1098 confirmée par des bulles papales au XIIe siècle.

Les plans anciens, plan de la Gouache daté de 1535, plan de Truschet et Hoyau et plan de Jacques Androuet du Cerceau dessinés vers 1550 représentent schématiquement ce territoire, de l’aval de la Seine au confluent et au bord de la Marne (du premier plan à l’arrière plan) comprenant ;

Le domaine seigneurial de Bercy s’agrandit au début du XVIIe siècle par l’absorption de territoires voisins : terre et seigneurie du bourg de Charenton en 1605 ; fief et seigneurie de la Grange-aux-Merciers, dite plus tard le Petit-Bercy , vendus par son dernier propriétaire Thomas Le Cocq en 1624 à Charles de Malon, seigneur de Bercy ; domaine de Conflans en 1643.

Jusque vers 1830, les parties habitées de Charenton se limitaient pour l’essentiel à 3 noyaux d’occupation datant du Moyen Âge, d’importance inégale. En 1830, le Bourg du Pont comptait 908 habitants, le Bourg des Carrières 917 habitants et Conflans limité à quelques maisons au voisinage du château, de l’église et de l’ancien couvent des Bénédictines 87 habitants.

La ville doit son nom à la présence du pont de Charenton, franchissant la Marne et permettant les relations entre la capitale et les provinces à l’Est, à proximité duquel s’est édifié le Bourg du Pont, un lieu d’auberges et de débits de boisson ; c’est un des premiers noyaux d’urbanisation de la commune. L’ouvrage est mentionné dès le VIIe siècle et est certainement l’un des plus anciennement bâtis pour faciliter la desserte de Paris. Il a toujours été regardé comme sa clef. Située à un emplacement stratégique (proximité de la capitale, existence d’un pont permettant de franchir la Marne près de son confluent avec la Seine), la ville fut le théâtre de nombreux combats.

En 865, les Vikings s’emparent du pont et le rompent.

En , le dauphin Charles s’en rend maître pour se diriger sur Paris occupée par les Anglais.

Sous Charles VII, les Anglais, maîtres de Charenton, en sont chassés, le , par le capitaine de Corbeil nommé Ferrière.

En 1465, l’armée de la Ligue du Bien public l’attaque, et s’y porte pour protéger ses opérations contre Louis XI.

Les calvinistes le prennent en 1567.

Le , Henri IV l’enlève aux soldats de la ligue mais en , lors du siège de Paris, l’Espagnol Alexandre Farnèse reprend la ville, ce qui permet de ravitailler la capitale assiégée par Henri IV au cours de la huitième guerre de religion.

Après quelques hésitations, la ville est désignée pour abriter le temple protestant de Paris attribué par l’édit de Nantes. Lors du soulèvement protestant de 1621, les protestants y sont massacrés après l’échec de Luynes au siège de Montauban.

En 1631, se tient à Charenton un synode national de l’Église réformée de France pour discuter ses principes et sa discipline.

Pendant les guerres de la minorité de Louis XIV, en 1649, les frondeurs y repoussent le prince de Condé qui le reprend la même année.

Pris et repris plusieurs fois au cours des siècles, le pont de Charenton est rebâti plusieurs fois ; il l’est, entre autres, en 1714, et subit quelques réparations en 1812. Le bourg était entouré d’une fortification supprimée en 1734 dont le tracé correspondait aux actuelles rues Gabriel Péri et de la Mairie.

Le Séjour du Roi, qui s’étendait en aval du Bourg du Pont, était à l’origine un ancien fort qu’avait fait construire Philippe le Bel à proximité du pont pour assurer la sécurité du passage. Nous avons peu d’informations sur ce fort et aucune illustration, mais son existence est attestée en 1314. Il était complété par un logis de 2 étages surmonté d’un beffroi qui comprenait des écuries pouvant accueillir 50 chevaux. Ces écuries sont transférées à Paris au XVe siècle. Le Séjour était entouré de jardins. Le domaine s’étendait, à l’ouest du bourg du pont, de la Marne à la rue de Conflans entre la ruelle des Carrières actuelle rue de la Mairie, et une ligne parallèle à l’actuelle rue Victor-Hugo, environ 50 mètres à l’ouest de cette rue formée en 1828 à partir d’une impasse dans le Séjour. Il était également nommé « Séjour des Carrières » en raison d’anciennes carrières souterraines. On prétendait qu’un de ces souterrains rejoignait le château de Vincennes (certainement une légende).

Les travaux de comblement par injection de coulis entrepris en octobre 2021 sous le square Jules Noël attestent l’existence de ces carrières.

Le Séjour du Roi donné par Louis XI en 1481 à Gillette Hennequin contre paiement d’une rente est ensuite démantelé au début du XVIIe siècle. Le bas du Séjour, à l’emplacement compris entre la voie ferrée, le quai des Carrières et l’actuelle rue Victor-Hugo, est donné en 1615 à l’ordre des Carmes déchaussés qui y établissent le noviciat de la Congrégation dans un couvent construit de 1623 à 1628. Le reste du domaine est acquis en 1699 par Pierre Dionis qui se fait nommer Dionis du Séjour, titre transmis à ses descendants.

Les bâtiments du Couvent des Carmes vendus comme bien national à la Révolution sont utilisés par une verrerie puis, dans la première moitié du XIXe siècle, par une entreprise de fonderie, les forges de Charenton, expropriés et détruits en 1848 pour le passage de la voie ferrée et l’établissement de la première gare.

La partie haute du Séjour du Roi qui appartenait à Achille Dionis est vendue après sa mort en 1796 et morcelée.

Un autre noyau d’urbanisation, en aval du Séjour du Roi, s’est développé très tôt ; le Bourg des Carrières qui doit son nom à l’extraction en ce lieu de pierres à bâtir de calcaire. Ces carrières sont exploitées jusqu’au milieu du XVIIIe siècle.

Le bourg doit ensuite son développement au site naturel d’accostage sur la Seine, permettant non seulement le manutention des pierres mais aussi d’autres marchandises : vins, bois et céréales ; les activités commerciales liées au fleuve deviennent vite une des vocations principales de Charenton et gagneront au cours du temps l’ensemble de la rive de la localité. Au XVIIIe siècle, le bourg comptait 215 feux soit une population de l’ordre de 800 à 1 000 habitants.

Après l’ouverture du canal de Saint-Maurice en 1864, l’activité de batellerie s’établit dans le large bassin en amont de l’écluse à la pointe de l’île Martinet, lieu de stationnement des péniches, de chargement et de déchargement.

L’action du roman L’Écluse numéro 1 de Simenon se déroule en 1933 dans le milieu des mariniers, sur les quais bordant ce bassin et dans la rue des Carrières qui était la voie principale du quartier.

Le comblement du canal vers 1950 remplacé par la route nationale 4 fait disparaître cette activité.

Le quartier est encore bouleversé autour de 1970 par la construction de l’autoroute à l’emplacement et autour de la route nationale 4. L’établissement de cette large autoroute entraine la démolition de son centre ancien, la rue des Carrières, et la construction d’immeubles de grande hauteur en bordure du quai déplacé et à l’arrière de celui-ci dans l’opération d’urbanisme de la ZAC des Carrières.

Encore plus en aval, surplombant la vallée, Conflans est le troisième noyau à l’origine de Charenton voué à la vie religieuse et aristocratique autour du château de Conflans, de l’ancien couvent des Bénédictines (actuel lycée Notre-Dame des Missions, médiathèque de l’architecture et du patrimoine, chapelle de Conflans et de l’ancienne église Saint-Pierre démolie en 1857 et reconstruite à son emplacement actuel).

L’origine du château provient de la cession 1316 par Philippe V le Long d’une partie de la garenne dépendant de sa terre de Conflans à sa belle-mère, la comtesse d’Artois Mahaut. Philippe VI de Valois y habite en 1339 et Jeanne II, reine de Navarre y meurt en 1349.

De 1481 à 1483, Louis XI donne la terre de Conflans successivement à Bastard de Valère-Capelle puis à Sixte d’Allemagne, son chirurgien.

Le château est la propriété comtes de Flandres et ducs de Bourgogne jusqu’à Maximilien d’Autriche puis redevient propriété des Rois de France. En 1548, Henri II le vend le à Claude Dodieu, évêque de Rennes, y ajoutant toute la terre de Conflans.

En 1672, François de Harlay, archevêque de Paris, y achète la maison du duc de Richelieu, la rebâtit, et, à sa mort en 1695, la lègue à ses successeurs.

Le château vendu en 3 lots comme bien national à la Révolution est racheté pour sa partie est en 1827 par l’archevêque de Paris Hyacinthe-Louis de Quélen qui y établit un séminaire. Cette partie du château avec le parc attenant s’étendant jusqu’au quai de Bercy revient à l’État et à la commune après la Loi de séparation des Églises et de l’État de 1905 est ensuite abandonnée et détruite en 1920. La partie ouest qui appartenait à la famille Hartmann est vendue en 1967 à un promoteur qui la détruit pour construire un immeuble parallèle à l’avenue de la Liberté. Des immeubles sont construits en 1954 à la place de la partie du château détruite en 1920 (square Henri Sellier le long de la rue du Séminaire-de-Conflans).

En aval de Conflans, s’étendait l’immense parc du château de Bercy et, encore au-delà, le domaine de la seigneurie de la Grange aux Merciers réunie à la seigneurie de Bercy en 1624, devenue à partir du XVIIIe siècle le « Petit Bercy ».

Charenton comprenait au nord de la route de Paris à Charenton, actuelle rue de Paris, un territoire agricole dont certaines parties avaient été exploitées en carrières jusqu’au XVIIIe siècle. Ce territoire deviendra après 1860 dans sa plus grande partie (au nord de l’avenue de Gravelle) l’extrémité sud-ouest du bois de Vincennes.

En 1790, est créée la municipalité, alors nommée Conflans-l’Archevêque, qui compte alors approximativement 1 800 habitants. Devenue un temps Le Républicain, elle prend le nom de Charenton-le-Pont en 1801. Cependant, en , quelques mois après la création de la municipalité, son territoire a été amputé, tout le nord-ouest de celui-ci devenant la commune de Bercy. De 1790 à 1795, Charenton Le Républicain, est un canton du district de Bourg-de-l’Égalité (Bourg-la-Reine).

Au mois de , les armées ennemies s’approchant de Paris, la défense du pont de Charenton est confiée aux élèves de l’école nationale vétérinaire d’Alfort. Le , accablés par le nombre, ils sont obligés de céder à la force. Charenton-le-Pont est pris, et, le lendemain, les troupes wurtembergeoises et le corps autrichien du comte de Guilay campent à Charenton.

Le développement de Charenton s’amorce vers 1830.

Le jardin du Cadran, parc de 12 hectares qui entourait le pavillon d’Antoine de Navarre est loti de 1828 à 1832. Plusieurs rues sont ouvertes sur ce terrain, rue du Parc, rue Gabrielle, rue de Sully etc.

La Mairie s’établit en 1838 dans le pavillon d’Antoine de Navarre.

L’ancien Séjour du Roi est partiellement urbanisé au milieu du XIXe siècle avec l’ouverture en 1838 de la rue des nouvelles carrières, actuelle rue Victor-Hugo, de la rue Saint-Pierre et la construction de premières maisons au bord de la « Grande rue » (actuelle rue de Paris) du côté opposé à la Mairie.

La construction de la voie ferrée de 1847 à 1849 coupe la commune en supprimant le cimetière qui datait de 1825 transféré dans le bois de Vincennes (actuel cimetière ancien de Charenton) et la fonderie « Forge de Charenton » établie dans l’ancien couvent des Carmes.

La croissance démographique et économique de la ville date principalement de cette période où cours de laquelle se développe l’activité de négoce de vins et spiritueux et où se créent de nombreux petits établissements industriels, la batellerie restant florissante dans le quartier des Carrières.

Les limites de la commune sont modifiées en 1860. Le territoire compris entre la Ville de Paris à l’ouest et la rue de l’Arcade, l’avenue de la Liberté et approximativement une ligne reliant le croisement de l’avenue de la Liberté avec la rue de Paris à la porte de Reuilly à l’est, faisait partie jusqu’en 1859 de la commune de Bercy. Ce territoire est rattaché le à Charenton, l’autre partie de cette commune, de l’enceinte de Thiers à l’enceinte des Fermiers généraux, étant annexée par la Ville de Paris.

Ce territoire rattaché à Charenton comprenait pour l’essentiel le parc du château de Bercy qui s’étendait du quai de Bercy jusqu’au-delà de l’emplacement de l’actuelle avenue de Gravelle et une petite partie de la plaine de Bercy au nord du parc.

Par ce changement, Charenton-le-Pont devient mitoyen avec la capitale.

Peu après la disparition de l’ancienne commune de Bercy, la Ville de Paris acquiert en 1861 les terrains de la plaine de Bercy au nord de l’actuelle rue de Paris, soit 9 hectares pour aménager pour y aménager un parc public (bois de Vincennes). Ces terrains comprenaient, au sud, une partie du domaine du château de Bercy, au nord du parc des terrains peu construits, en majorité des jardins. Ce territoire faisait en majorité partie de l’ancienne commune de Bercy annexée à emplacement actuel de part et d’autre du boulevard périphérique de la porte la porte de Reuilly à la porte Dorée et pour une part moins importante, du territoire de Charenton avant 1860, au nord de la rue de Conflans et de l’emplacement de l’avenue de la République jusqu’à l’actuelle avenue de Gravelle et, au-delà, au sud d’une ligne reliant le croisement de l’actuelle avenue Jean Jaurès avec la porte de Reuilly.

Ce territoire propriété foncière de la Ville de Paris reste cependant jusqu’en 1929 sur le territoire communal de Charenton qui s’étend jusqu’en limite de Saint-Mandé comprenant notamment le lac Daumesnil

En 1861, le Comte de Gabriel de Nicolaï vend la partie subsistante du parc (entre la route de Paris à Genève, actuelle rue de Paris , et la Seine) pour 10 500 000 F à une société présidée par le duc de Morny qui fait détruire le château.

Le terrain appartient en 1863 à la Compagnie anonyme des magasins généraux.

Ces magasins sont construits après 1864 au sud de la gare de marchandises et des entreprises de négoces de vins se développent dans ce quartier.

Les installations ferroviaires s’étendent à la fin du XIXe siècle sur des terrains revendus en 1869 par la Compagnie anonyme des magasins généraux à la Compagnie du PLM qui y établit une gare de marchandises, actuellement technicentre Paris-Sud-Est.

Les terrains entre la voie ferrée et la rue de Paris inutilisés pour ces installations furent lotis pour la partie ouest dans les années 1860 (actuel quartier Valmy)s. Ceux à l’est de la rue de Valmy sont construits plus tardivement en raison de la présence d’anciennes carrières. Le vélodrome de l’est s’y installe puis la société Nicolas y établit son siège en 1920.

Le pont est reconstruit en 1863 lors de l’ouverture du canal de Saint-Maurice.

Charenton était desservi par quatre lignes de tramways du début XXe siècle jusqu’à leur suppression ou remplacement par des autobus au milieu des années 1930 ;

Le tramway de la ligne 13 est évoqué dans le roman l’Écluse numéro 1 de Simenon.

La ville de Paris cède le à la ville de Charenton la partie de ces terrains acquis non aménagés pour le bois de Vincennes entre la rue de Paris, la rue de la République et l’avenue de Gravelle. Cet ensemble reste sur le territoire de Charenton lors de l’annexion du Bois de Vincennes par la Ville de Paris en 1929.

Ces terrains lotis et urbanisés au cours des années suivant cette cession forment l’actuel « quartier du plateau ».

Le Bois de Vincennes (au nord de l’avenue de Gravelle) est annexé par la Ville de Paris. Sont situés dans ce périmètre le cimetière ancien — bien qu’étant donc maintenant à Paris, il reste la propriété de la commune de Charenton-le-Pont — et le vélodrome de la Cipale — propriété de la ville de Paris et qui l’était déjà avant 1929, dès sa création en 1896.

En 1929, l’ancienne zone non aedificandi qui bordait l’enceinte de Thiers démantelée à partir de 1919 (terrains compris approximativement entre les bordures extérieures du Boulevard Poniatowski et du boulevard périphérique est également rattachée à la ville de Paris.

Des immeubles HBM sont construits en 1933 sur l’ancien parc du château de Conflans (place Bobillot) puis d’autres immeubles en 1954, à l’emplacement de ce château détruit en 1920 à la place de sa dernière partie démolie en 1967 (square Henri Sellier).

L’autoroute A4 construite au début des années 1970 sur une partie de la largeur du quai de Bercy, sur le bas du quartier des Carrières avec destruction de la rue des Carrières et sur le tracé du canal de Saint-Maurice comblé en 1952 sépare la ville du fleuve et l’échangeur autoroutier de la porte de Bercy introduit une coupure de la liaison avec Paris en aval par le quai de Bercy.

La création de cette autoroute, la fermeture des Magasins généraux et de plusieurs entrepôts entraine, par ailleurs, d’importants aménagements urbains, Bercy 2 et ZAC des Carrières avec construction d’immeubles de grande hauteur.

Sous l’Ancien Régime, Charenton était un lieu-dit de la Paroisse de Conflans.
Jusqu’à la loi du [29], la commune faisait partie du département de la Seine. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais au Val-de-Marne à la suite d’un transfert administratif effectif le .

Pour l’élection des députés, la ville fait partie depuis 2012 du huitième circonscription du Val-de-Marne.

La commune était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Charenton-le-Pont. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont elle est désormais le bureau centralisateur, est modifié, passant de deux à quatre communes.

Les communes de Charenton-le-Pont et de Saint-Maurice ont créé 2003 la communauté de communes de Charenton-le-Pont Saint-Maurice, qui ne comptait que ces deux villes.

Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l’agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre.

La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d’ensembles de plus de 300 000 habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT).

La commune a donc également été intégrée le à l’établissement public territorial Paris-Est-Marne et Bois, qui s’est substitué à l’ex-communauté de communes de Charenton-le-Pont Saint-Maurice.

Lors du premier tour des municipales de 2014, les candidats avaient obtenus les résultats suivants : Jean-Marie Brétillon (UMP, 64,8 %), Gilles-Maurice Bellaïche (PS, 16,5 %), Émilie Bertrand (FG, 9,6 %), Chantal Gratiet (DVD 9,1 %).

La liste menée par Jean-Marie Brétillon ayant obtenu plus de 50 % des suffrages exprimés, le second tour n’avait pas été organisé.

Cette tendance se poursuit en où le sortant, Hervé Gicquel est réélu avec 56,21 % des voix contre 16,90 % pour Caroline Campos-Brétillon (DVD, fille de Jean-Marie Brétillon, Maire de 2001 à 2006), 10,37 % pour l’élu socialiste et candidat EELV Loïc Rambaud, 7,09 % pour le candidat socialiste João Martins-Pereira, 6,03 % pour Francis Rodriguez-Lacam (LREM) et 3,46 % pour l’élue socialiste et candidate DVG Alison Uddin.

Depuis 2010 et jusqu’à au moins 2016, la commune de Charenton-le-Pont est récompensée par la plus haute distinction au label Ville Internet avec @@@@@ (5 arobases). L’année 2021 marque pour Charenton l’obtention du label Territoire d’excellence numérique[47].

L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d’une enquête par sondage auprès d’un échantillon d’adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans,

En 2019, la commune comptait 29 882 habitants, en diminution de 1,73 % par rapport à 2013 (Val-de-Marne : +3,92 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

La commune de Charenton dispose de onze établissements scolaires publics dans l’enseignement primaire. Parmi eux, six sont des écoles maternelles :

Les écoles élémentaires sont :

Il existe un établissement privé, l’ensemble Notre-Dame-des-Missions qui regroupe une école primaire, un collège et un lycée.

Le collège la Cerisaie et le lycée Robert-Schuman sont les deux établissements scolaires publics du cycle secondaire.

La commune compte de nombreux équipements sportifs.

Le complexe Tony-Parker a été inauguré en 2011 par le champion de basket éponyme. Il est composé de deux gymnases (45 m × 35 m) parallèles séparés par une paroi en verre, une salle de musculation, une salle de réunion et de bureaux associatifs. L’un des gymnases comporte 300 places assises.

Le complexe Maurice-Herzog est composé d’un gymnase (35 m × 21 m), d’une salle de boxe avec ring et d’une salle destinée aux arts martiaux.

Le complexe Télémaco-Gouin est composé d’une piscine, d’une fosse de plongée (5 m et 15 m), d’un gymnase avec 300 places assises et d’un espace destiné à la gymnastique aux agrès.

Le complexe Nelson-Paillou est composé d’un gymnase (35 m × 21 m) avec 500 places assises, d’une salle polyvalente, d’une salle de gymnastique aux agrès, d’une salle de tennis de table de 18 tables.

Le complexe Jean-Mermoz est composé d’une salle de danse en parquet, d’un boulodrome couvert avec deux pistes de pour jouer à la boule parisienne et de deux terrains de tennis.

Le stade Henri-Guérin est composé d’un terrain de football (105 m × 68 m) en synthétique avec 500 places assises.

Le stade Charentonneau est composé d’un terrain de football (105 m × 68 m) en synthétique.

La piste d’athlétisme Stéphane-Diagana, d’une longueur de 300 mètres, est composée de cinq couloirs et d’une aire stabilisée de 70 m × 30 m au centre.

La commune possède également un dojo, de dimension de 15 m × 15 m, la salle d’armes Henri-IV de neuf pistes destinées à l’escrime, les salles Aristide-Briand (salle d’art martiaux et salle polyvalente), la salle Claude-Bessy (salle de danse en parquet), les trois terrains de tennis Jules-Noël et une salle de 430 m2 destinée au Krav Maga rue Jean-Pigeon.

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 36 748 , ce qui plaçait Charenton-le-Pont au 4 790e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole.

Bercy 2, centre commercial de 71 enseignes pour 36 000 m2, est situé à Charenton-le-Pont aux bords de la Seine et du périphérique. Ce centre commercial, inauguré le , est l’œuvre des architectes Renzo Piano et Jean-François Blassel. La structure, dont la courbure suit le virage du périphérique, évoque un grand dirigeable. Elle est constituée d’une structure en bois, couverte de tuiles d’acier inoxydable, formant une grande halle fermée de l’extérieur et éclairée par la verrière du toit,.

La commune accueille le siège social d’Essilor, cinq sites de la banque Natixis (Liberté, Liberté 2, Bercy, Nouveau Bercy et Coupole) employant près de 5 000 personnes, une usine et une plateforme de distribution de la Martiniquaise (dont la marque Porto Cruz), ProBTP, la Banque française mutualiste et la Financière des paiements électroniques (marque (compte-)Nickel).[réf. souhaitée]

La municipalité œuvre à maintenir la cohésion économique ainsi que la complétude et l’attractivité de l’offre commerciale par un soutien aux commerçants implantés. Exemples : en 2020 avec la création de la marketplace www.charenton-commerces.fr, en 2021 avec le recrutement d’un agent supplémentaire en charge de la relation avec les commerçants et artisans manager de centre-ville ainsi que la mise en place d’un fonds de soutien de 250.000 € aux tpe/pme ayant souffert des préjudices de la crise du covid et de sa gestion, ou en 2022 la multiplication des événements de soutien à l’emploi ainsi que la multiplication des acquisitions de locaux commerciaux facilitant l’implantation de nouvelles activités qualitatives.

Après la destruction du couvent des Carmes en 1847, de l’ancienne église Saint-Pierre en 1859, du couvent des Bénédictines reconstruit en grande partie vers 1860 (bâtiments du lycée Notre-Dame des Missions, de la médiathèque de l’architecture et du patrimoine et de la chapelle de Conflans), du château de Bercy en 1861, du château de Conflans (en deux parties en 1920 puis en 1967), de l’hôtel du Plessis-Bellière qui datait de 1640 à l’emplacement de l’actuelle place de Valois en 1937, la disparition autour de 1970 de la rue des Carrières bordée de maisons anciennes, les bâtiments anciens de Charenton sont un ensemble relativement limité.

Outre le patrimoine civil et religieux répertorié, il ne reste guère que les maisons bordant la partie semi-piétonne de la rue de Paris qui datent vraisemblablement du XVIIIe siècle.

Charenton abrite le siège de la Compagnie des courtiers jurés-experts piqueurs de vins de Paris.

Publication récente

installer votre gouttière

Comment installer votre gouttière ?

Rappelez-vous qu’une gouttière est un composant crucial de votre couverture, surtout et en particulier pendant les périodes pluviales. Elle vous permettra d’empêcher les précipitations aux

Lire Plus »
Avis Clients

Ce que nos clients disent de nous

Notre entreprise en chiffre

Quelques chiffres sur Artisan Marchand

Foisotte Couverture vous propose de multiples services dans le Val-de-Marne (94). Découvrez ici les chiffres dont nous sommes fiers !

+ 0
Ans d'expériences
+ 0
Interventions en 2021
+ 0
Toitures Réalisées en 2021
+ 0
Entreprises Partenaires
Qui sommes nous ?

Un peu plus sur notre entreprise

FAQ

Notre équipe pourra aller en tout lieu pour effectuer l’installation de toit, l’entretien ou bien la rénovation, le nettoyage, la pose de système de canalisation, l’isolation de vos combles ou bien alors la pose de volet dans la ville de Charenton-le-Pont et partout au alentour. N’hésitez pas à nous consulter dans le souci. Nous ferons un plaisir de vous conseiller en tant que couvreur confirmé à Charenton-le-Pont.

Les failles de son logement permet de connaitre les travaux à effectuer. En général, quand on pense « isolation », on pense aux murs. Cependant le premier risque demeure la toiture. Elle cause 30 % des déficits énergiques : La couverture de toiture forme une vaste surface de contact entre la face interne et la face externe. La couverture s’expose au vent. La température de la pièce se propage et se concentre alors sous les toits. Il existe plusieurs sources de déperditions dues aux toitures : Défaillance d’isolation de la dernière couche plafond, défaillance d’isolation des sous-pentes de toit et également des combles, échappements d’air, entre les tuiles et au niveau des jonctions de l’ossature avec la cloison. Effectivement, dans une habitation mal isolée, la toiture est la partie la plus critique. Une bonne isolation = zéro gaspillage d’énergie.
  • Nous présentons des devis sur-mesure et non payants
  • Nous disposons de tous les documents d’assurances règlementaires
  • Notre établissement est attesté et labellisé
  • Nous déployons que des appareils de meilleure qualité en tant que couvreur à Charenton-le-Pont.
  • Nous menons toutes nos interventions dans le respect du délai d’exécution
  • Nous sommes protégés par une assurance décennale
  • Nous intervenons de façon sécurisée
  • Nous respectons les règles d’hygiène de nos chantiers
  • Nous restons à côté de nos clientèles sur la durée
  • Un personnel à votre service
  • Un team qualifié, chaque couvreur dispose d’un parfait niveau de performance.
Conseils & Actualités

Actualités

installer votre gouttière

Comment installer votre gouttière ?

Rappelez-vous qu’une gouttière est un composant crucial de votre couverture, surtout et en particulier pendant les périodes pluviales. Elle vous permettra d’empêcher les précipitations aux

Lire plus »

Une question ? Un besoin ?

On vous rappelle

Inscrivez votre numéro de téléphone ci-dessous et on vous rappellera rapidement.

Seraphinite AcceleratorOptimized by Seraphinite Accelerator
Turns on site high speed to be attractive for people and search engines.